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Mon avis sur Rise Of The Ronin

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Il semble que la Team Ninja ait choisi une approche intéressante en combinant des éléments de l'histoire japonaise avec un monde ouvert, ce qui est en effet une première pour le studio. Cette décision pourrait être perçue comme une tentative de toucher un public plus large tout en conservant la signature de gameplay exigeant pour lequel ils sont connus.

 

Bien que la comparaison avec Assassin's Creed puisse sembler évidente à première vue en raison du cadre historique et du monde ouvert, il est important de noter que chaque jeu a ses propres mécaniques et son propre style. Rise of the Ronin pourrait offrir une expérience unique en exploitant pleinement son contexte historique et en incorporant les éléments de gameplay caractéristiques de la Team Ninja.

 

Il sera intéressant de voir comment le studio parvient à équilibrer l'accessibilité du monde ouvert avec la difficulté et l'exigence attendues de leurs jeux. Si la Team Ninja parvient à capturer l'essence de cette période charnière de l'histoire japonaise tout en offrant une expérience de jeu riche et immersive, Rise of the Ronin pourrait se révéler être une expérience inoubliable pour les joueurs.

 

Merci infiniment à PlayStation France pour l'envoi du jeu

 

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Il est décevant d'entendre que Rise of the Ronin semble souffrir d'un manque d'originalité dans son approche du monde ouvert. Lorsqu'un jeu adopte des mécaniques et des éléments déjà bien établis dans d'autres titres, cela peut entraîner une sensation de déjà-vu et donner l'impression que le jeu manque d'identité propre.

 

Il est compréhensible que les studios cherchent à capitaliser sur des formules éprouvées, surtout dans le cas des mondes ouverts qui sont souvent très populaires auprès des joueurs. Cependant, il est tout aussi important de trouver un équilibre entre l'accessibilité et l'originalité pour offrir une expérience de jeu véritablement mémorable.

 

Il est encourageant de voir des studios comme la Team Ninja explorer de nouveaux genres et mécaniques de gameplay, mais il est tout aussi crucial qu'ils parviennent à apporter leur propre touche distinctive à ces expériences. Espérons que, malgré les critiques actuelles, ils puissent prendre en compte ces retours pour leurs projets futurs et continuer à innover dans le monde du jeu vidéo.

 

Un jeu en monde ouvert, c’est l’assurance de quelques ventes en plus, mais c’est aussi un moyen de prendre le virage tôt ou tard de la sacro-sainte formule. Celle-ci prend de plus en plus de place et ne pas mettre le pied à l’étrier est un réel handicap. Former ses développeurs à réfléchir à la verticalité, au remplissage intelligent de l’espace, à la construction topographique, tout ceci ne se fait pas en un jour/jeu. Même si Rise of the Ronin échoue sur presque tous ces plans, il aura au moins le mérite d’avoir essuyé les plâtres.

 

Le jeu est au moins très honnête avec nous et ne nous vend pas de joli plan de cerisiers en fleur à la Ghost of Tsushima, le Japon sans l’effet carte postale donc. De plus, la mise en scène est travaillée et offre de belles réminiscences du cinéma chanbara. Il est difficile de ne pas penser aux Sept Samouraïs ou à Yojimbo de Kurosawa, l’équipée à nos côtés peut même renvoyer aux Sept Samouraïs. Voir ci-dessous une mise en scène inspirée du chef-d’œuvre de Masaki Kobayashi, Harakiri et le groupe atypique des sept samouraïs.

 

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Il semble que Rise of the Ronin ait réussi à se démarquer grâce à son système de combat profond et exigeant, qui place l'accent sur la maîtrise des techniques et la concentration du joueur. Le parallèle avec le kendo et le code du bushido apporte une dimension intéressante à l'expérience de jeu, mettant en avant la nécessité d'une concentration maximale et d'une exécution précise des contre-attaques.

 

La mécanique du contre, centrée sur l'attente du bon moment pour parer et riposter, crée une tension palpable dans les combats et renforce l'aspect stratégique du gameplay. La gestion de la barre de ki, représentant à la fois la concentration, la fatigue et le moral du personnage, ajoute une couche de profondeur supplémentaire au système de combat, incitant les joueurs à adopter une approche réfléchie et calculée dans leurs actions.

 

L'idée que la moindre erreur peut être fatale, en accord avec les principes du bushido, ajoute un sentiment de réalisme et d'immersion à l'expérience de jeu. Réussir des contres parfaits pour vider la barre de ki et déclencher des coups critiques semble être une mécanique satisfaisante et gratifiante pour les joueurs qui parviennent à maîtriser cet aspect du gameplay.

Il est encourageant de voir que malgré les critiques sur d'autres aspects du jeu, Rise of the Ronin parvient à exceller dans le domaine des combats, offrant ainsi une expérience unique et immersive pour les amateurs de jeux exigeants et stratégiques.

 

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malgré ses qualités dans le système de combat, Rise of the Ronin souffre de certaines complexités inutiles qui peuvent affecter négativement l'expérience de jeu. La possibilité de changer de stance en cours de combat, bien que stratégiquement intéressante, peut ajouter une couche de complexité excessive, surtout avec la variété de postures disponibles.

 

De même, la gestion du loot semble être un aspect problématique du jeu, avec un inventaire rapidement saturé et un loot trop fréquent, ce qui peut rendre fastidieuse la gestion des objets et leur utilisation. La présence de coffres aléatoires contenant des objets plus puissants que ceux obtenus en vainquant des boss peut sembler contraire à la logique de progression du jeu.

En ce qui concerne la difficulté, il semble y avoir un déséquilibre dans la progression, avec une accessibilité apparente au début du jeu qui se transforme en une courbe de difficulté abrupte vers la moitié du jeu. La difficulté artificielle, basée sur la multiplication des ennemis plutôt que sur des défis de boss spécifiques, peut également être source de frustration pour les joueurs.

 

Il est important pour les développeurs de trouver un équilibre entre la complexité et l'accessibilité dans la conception de leur jeu, afin d'offrir une expérience de jeu cohérente et gratifiante pour tous les types de joueurs. Prendre en compte les retours des joueurs et ajuster les mécaniques de jeu en conséquence pourrait aider à améliorer l'expérience globale de Rise of the Ronin.

 

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Conclusion

 

Difficile de comprendre ce qu’il se passe manette en main avec ce Rise of the Ronin. Tout sur le papier réunit les conditions pour déserter ce jeu une fois le scénario terminé. Pourtant, tout n’est pas si simple. Passion pour la période historique ? Fétichisme du démembrement au katana ? Nostalgie de la modélisation de l’eau des années 2000 ? Nous n’avons pas de réponse, mais il est sûr que nous n’avons pas fini d’arpenter le monde ouvert, et ouvertement daté, de la Team Ninja.

 

En tant qu’exclusivité de la PS5, et sorti conjointement à un autre jeu attendu, à savoir Dragon’s Dogma 2, le jeu bénéficie d’une réception tiède, mais le charme opère sur de nombreux joueurs. Rise of the Ronin est la preuve que des idées novatrices et des concepts originaux ne sont pas indispensables à la création d’un bon jeu, certes, mais il paraît difficile pour le jeu de la Team Ninja de marquer les mémoires tant le jeu peine à se distinguer sur des aspects très (trop ?) attendus.

 

 


13/04/2024
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Mon avis sur Dragon's Dogma 2

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Dragon’s Dogma 2 est un action RPG développé et édité par Capcom. Il est disponible sur PC, Xbox Series et PlayStation 5, voyons ensemble ce que vaut le jeu.

 

Merci à Capcom France pour l'envoi du jeu.

 

Mon avis : 

 

Dans « Dragon’s Dogma 2 », l'aventure commence dans une prison souterraine, où les échos d'une prophétie ancienne résonnent, annonçant que vous êtes l'Insurgé, destiné à affronter le dragon. Votre quête vous mène à travers un monde partagé entre les hommes et les léonins, où chaque rencontre, dialogue et décision façonne votre chemin et révèle des fragments de votre passé oublié. L'intrigue se tisse avec des éléments narratifs explorant des thèmes de destinée, de pouvoir et de sacrifice, tout en vous plongeant dans des mystères qui remettent en question la nature même de votre existence.

 

Globalement, l'histoire est intéressante à suivre avec ses intrigues politiques et ses rebondissements. On peut cependant regretter une écriture des dialogues un peu maladroite.

 

 

Gameplay : 

 

Côté gameplay, Dragon’s Dogma 2 propose une expérience riche qui combine exploration, combat et interaction avec un monde vivant. De plus, vous devrez recruter des pions qui vous accompagneront dans votre aventure.

 

La personnalisation de votre personnage est poussée, vous permettant de modifier son apparence de manière détaillée, de la coiffure aux traits du visage.

 

De même, vous avez accès à un large éventail d'armes et d'armures, chacune offrant des capacités et des bonus uniques. Vous pouvez également collecter des matériaux au cours de votre aventure, ce qui vous permet d'améliorer votre équipement, augmentant ainsi ses statistiques et parfois même lui conférant des effets supplémentaires.

 

Votre personnage principal peut évoluer en choisissant parmi différentes classes, chacune offrant un style de jeu particulier et un ensemble de compétences à maîtriser. En progressant dans le jeu, vous débloquerez de nouvelles classes et la possibilité d'en changer.

 

 

Les pions jouent un rôle central dans le gameplay de « Dragon’s Dogma 2 ». Ces compagnons IA peuvent être recrutés, personnalisés, entraînés et équipés pour correspondre à votre style de jeu. Ils ajoutent une dimension supplémentaire aux combats et à l'exploration, offrant assistance, conseils et soutien. Plusieurs types de pions existent, chacun apportant des compétences et des capacités uniques qui influencent les combats et l'exploration :

  • Pions Guerriers : Excellents en combat rapproché, ils peuvent absorber beaucoup de dégâts et protéger les autres membres du groupe.
  • Pions Mages : Fournissent un soutien à distance, offrant des soins et des buffs tout en infligeant des dégâts magiques aux ennemis.
  • Pions Archers : Spécialisés dans les attaques à distance, ils peuvent cibler les points faibles des ennemis et offrir un soutien tactique.
  • Pions Voleurs : Agiles et rapides, ils peuvent infliger des dégâts critiques et accéder à des zones difficiles à atteindre.

 

La personnalisation des pions est essentielle pour maximiser leur efficacité. Vous pouvez choisir leur équipement, leurs compétences et même leur comportement en combat. En les entraînant, les pions améliorent leurs compétences et apprennent de nouvelles tactiques, les rendant plus efficaces et adaptables à diverses situations.

 

Les pions ne se limitent pas au combat ; ils peuvent également repérer des chemins cachés, détecter des pièges et collecter des ressources. Leur connaissance du monde et des ennemis peut fournir des informations précieuses, vous aidant à prendre des décisions éclairées au cours de vos aventures.

 

Le système de combat de « Dragon’s Dogma 2 » marie habilement action dynamique et stratégie. Vous devez maîtriser les compétences de vos classes, coordonner vos actions avec vos pions et vous adapter aux stratégies des ennemis.

 

Les combats sont conçus pour être tactiques, vous incitant à exploiter les faiblesses des ennemis et à tirer parti de l'environnement. La fluidité et l'exigence du combat vous obligent à jongler entre les attaques directes, l'utilisation de compétences spéciales et la gestion d'une jauge de perte. Cette jauge indique temporairement la réduction de la quantité maximale de vie de votre personnage, qui ne peut être récupérée que par le repos dans une auberge ou en campant. Il convient de noter que le bestiaire est varié et que les combats épiques contre les boss constituent clairement le point culminant du jeu.

 

 

Visuellement, « Dragon’s Dogma 2 » est une réussite indéniable. Le moteur RE fait des merveilles, en particulier dans les paysages. Cependant, la profusion d'effets peut parfois nuire à la lisibilité. De plus, le jeu souffre encore de quelques problèmes d'optimisation, ce qui se traduit par une fluidité fluctuante. Les menus et l'ergonomie générale peuvent également sembler austères, mais cela semble en partie assumé au nom de l'immersion.

 

En ce qui concerne la bande-son, elle est immersive, avec des thèmes musicaux épiques parfaitement adaptés à l'aventure.

 

Conclusion : 

 

Dragon’s Dogma 2 offre une expérience action RPG surprenante, alliant un gameplay intense typique de Capcom, une exploration à la Zelda dans un monde ouvert moderne, et une intrigue captivante. Cependant, il peut également se montrer austère avec une ergonomie sans concession et une structure de quête un peu trop classique dans son écriture. Malgré ces aspects, plonger dans cette aventure exigeante mais gratifiante en vaut la peine si l'on apprécie les défis et les récompenses qu'elle offre.

 

16/20

 

 


10/04/2024
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Mon avis sur Helldivers 2

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Bienvenue dans ce nouveau test, aujourd'hui je vais vous donner mon avis sur Helldivers 2, le nouveau jeu à succès du studio Arrowhead Game Studios et PlayStation.

 

Je remercie PlayStation pour l'envoi du jeu.

 

Mon avis :

Chers adeptes des armes imposantes et des créatures intergalactiques, réjouissez-vous, car le très anticipé Helldivers 2 est désormais accessible ! Attendez-vous à affronter d'énormes insectes et à démanteler des horreurs mécaniques ! Croyez-le ou non, le chaos promis semble dépasser toutes les attentes, offrant une expérience inoubliable ! Pour les nostalgiques, Helldivers 2 marque un retour en force. Rendez-vous de l'autre côté de l'action !

 

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Le jeu débute avec une interprétation délibérément décalée et sarcastique de l'armée. Cette introduction vous place dans la peau d'un soldat, un Helldiver, pour qui sacrifier sa vie pour la démocratie semble être la norme dans cette histoire. Après avoir assisté à la tragédie de votre famille aux mains de l'envahisseur, il devient évident que votre devoir, que vous le vouliez ou non, sera de rendre la vie difficile à vos agresseurs, évoquant fortement le bestiaire du film Starship Troopers ! Et si vous pensiez que la référence s'arrête là, détrompez-vous, car l'impression de revivre le scénario du film est tangible, aussi bien dans ses décors que dans l'aspect coopératif où la survie prend tout son sens. Pour une expérience immersive totale, le port du casque est recommandé, et l'aspect sonore ne doit surtout pas être négligé.

 

La première surprise majeure, si l'on peut la qualifier ainsi, réside dans le changement de style de jeu. Le premier opus, avec sa vue de dessus légèrement en trois quarts, évoquant un style à la Diablo, cède sa place à un shooter plus conventionnel avec une vue à la troisième personne. Le constat initial est qu'il ouvre considérablement le champ de vision lorsque vous regardez droit devant, mettant en lumière le point central du jeu : l'absence de vision à l'arrière, procurant ainsi une sensation constante d'insécurité. Rappelez-vous, l'envahisseur peut venir de n'importe où, surtout en grand nombre ! La vulnérabilité et la fragilité humaine sont donc au cœur du gameplay, que l'on apprécie ou non. Ce choix ne trompera personne. Il est renforcé par la présence omniprésente du "friendly fire" ; votre coéquipier peut à tout moment vous ôter la vie avec une "balle perdue délibérée". Cela lance la réflexion sur la stratégie à adopter : en ligne, deux coéquipiers dos à dos couvrant le périmètre sur cent quatre-vingts degrés ! Tout dans le jeu est limité, des munitions à la capacité de déplacement rapide de votre avatar. Chaque mouvement doit donc être pensé. La manette de Sony fait des merveilles, et le mappage proposé se révèle très efficace !

 

Votre helldiver devra donc opérer avec l'aide de trois autres joueurs, où l'association synergique de vos qualités et capacités ouvrira une profondeur insoupçonnée. Outre un arsenal assez conventionnel comprenant une arme de poing, un fusil d'assaut, des grenades, vous pourrez également demander des largages qui, là aussi, nécessiteront une attention particulière. Vous n'aurez pas simplement un bouton sur lequel appuyer, mais toute une série de directions, prenant suffisamment de temps pour vous surprendre et recommencer la séquence de lancement ! Cette opération devra également être répétée pour tout ce qui concerne les bonus venant de l'extérieur, qu'il s'agisse de soutien aérien ou de rapatriement. Comme c'est souvent le cas, les différents terrains de jeu empêcheront une certaine monotonie de s'installer malgré une redondance fréquente des objectifs, propre à ce type de jeu. Mais l'essentiel ne réside pas là, heureusement. On court, on tire, on explose tout ce qui se présente devant nous dans un déluge pyrotechnique et de sang, recouvrant notre armure immaculée ; l'effet est garanti, et on en redemande !

 

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Comme mentionné précédemment, les divers environnements de jeu apportent une touche de fraîcheur. Lorsqu'on parle de planètes, la diversification est au rendez-vous dans Helldivers 2, évoquant les souvenirs nostalgiques de la franchise Star Wars en termes d'inspiration. Des terres ensablées aux étendues enneigées, tout est réuni pour notre plus grand plaisir. Cependant, cette diversité ne semble pas avoir d'incidence significative sur notre environnement, à l'exception peut-être des armes, où la chaleur a tendance à les faire surchauffer, ce qui est dommage. Un autre aspect qui laisse à désirer concerne la direction artistique dans son ensemble. Malgré une cohérence indéniable, Helldivers 2 donne l'impression d'être inachevé. Bien que le plaisir de décimer une horde d'ennemis soit présent, certaines zones semblent plutôt vides, comme si nous devions attendre que les ennemis se montrent.

 

Cette décision a probablement été prise dans un souci de préparation, mais elle altère l'immersion, car il faut surveiller chaque recoin. Détruire un point ne garantit pas qu'aucun ennemi n'arrivera d'un autre côté. Malgré le jeu fluide en toutes circonstances, il ne s'agit pas de la claque graphique à laquelle on pouvait s'attendre sur la PlayStation 5. Un effet de flou vient parfois ternir l'expérience. Heureusement, ces lacunes graphiques n'altèrent en rien le plaisir du jeu en multijoueur, surtout lorsque votre allié ne s'acharne pas à vous tuer !

Les missions s'enchaînent, on monte en niveau, rien de nouveau à l'horizon. Pourtant, le matchmaking se met en place, et l'on se surprend vite à vouloir obtenir la meilleure place au classement des quatre, même si cela reste subjectif.

 

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Conclusion : 

Helldivers 2 respecte fidèlement l'ADN de son prédécesseur tout en ajoutant une composante multijoueur captivante. En solo, ne vous attendez cependant pas à grand-chose, car vous pourriez rapidement être confronté aux contraintes de munitions et de temps. Conçu pour être joué en coopération, le jeu offre une sensation de puissance lorsque l'équipe est bien coordonnée. Les moments amusants abondent grâce au friendly fire et aux largages de colis (mais attention à ne pas rester en dessous du point de largage). Si vous avez une affection particulière pour les années 90, ce jeu est fait pour vous. Il surfe, sans le savoir, sur la vague de nostalgie, regorgeant de références de Terminator à Star Wars, en passant évidemment par le cultissime Starship Troopers.

17/20

 

 

 


04/03/2024
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Mon avis sur Suicide Squad Kill The Justice League

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Disponible depuis le 2 février 2024, voici mon avis sur Suicide Squad Kill The Justice League, le dernier jeu en date de Rocksteady Studios.

 

Merci à Warner Bros Games France pour l'envoi du jeu

Mon avis : 

 

L'intrigue de Suicide Squad: Kill The Justice League se déroule environ cinq années après les événements survenus dans Batman: Arkham Knight, inscrivant ainsi le jeu dans l'Arkhamverse. Metropolis se trouve sous l'emprise de Brainiac, qui a pris le contrôle de la Justice League, comptant parmi ses membres Batman, Superman, Green Lantern et Flash.

Amanda Waller, directrice de l'ARGUS, se voit contrainte de mobiliser la Task Force X afin de tenter de libérer Metropolis des griffes de Brainiac.

 

La Task Force X d'Amanda Waller, qui prend part au jeu, rassemble Harley Quinn, Captain Boomerang, Deadshot et King Shark. Ensemble, ils doivent collaborer dans une Metropolis dévastée, avec pour objectif d'éliminer la Justice League par tous les moyens nécessaires.

 

La marque distinctive de Rocksteady se reconnaît aisément ; l'intrigue est captivante, bien qu'elle manque de moments véritablement époustouflants. Personnellement, je n'avais jamais autant ri au cours d'une histoire de jeu, grâce à un humour typique de la Suicide Squad. Même dans des situations sérieuses et sombres, les personnages parviennent toujours à distiller une dose d'humour. L'une des grandes forces du récit réside indéniablement dans la qualité des cinématiques et des expressions faciales, qui élèvent l'expérience.

 

L'histoire est divisée en 7 chapitres, mais le principal inconvénient réside dans la qualité décevante des missions, à quelques exceptions près, comme celle du musée au début du jeu face à Batman. Les objectifs des missions se limitent principalement à éliminer des cibles, à chercher des alliés potentiels et à protéger des points spécifiques. La plupart des moments intéressants se déroulent au sein des cinématiques.

 

Le jeu propose des combats de boss décevants, même lors des confrontations avec la Justice League. Leur mort n'est pas mise en scène de manière impressionnante, et ils périssent comme de simples ennemis aléatoires.

 

L'évolution de l'équipe tout au long du jeu est bien exécutée, avec un renforcement progressif de leur cohésion au fil de l'aventure. La Task Force X bénéficie d'un développement appréciable.

 

En résumé, l'histoire de Suicide Squad: Kill The Justice League manque de créativité dans ses missions, la Justice League ne présente rien d'impressionnant et est éliminée d'une manière décevante. Heureusement, l'humour de la Suicide Squad est là pour essayer de rattraper l'ensemble, mais la balle est un peu loupée. Il reste à voir comment l'histoire évoluera au cours des futures saisons du jeu. Compter environ 8 à 12 heures pour compléter l'histoire.

 

 

Rocksteady a pris un audacieux virage en proposant un genre de jeu totalement différent avec Suicide Squad: Kill The Justice League. Il s'agit d'un jeu de tir à la troisième personne avec une composante de loot, marquant ainsi une rupture significative avec le genre des jeux Batman Arkham.

 

Le gameplay, véritable point fort du jeu, surprend par son côté jouissif, dynamique et adapté à chaque personnage. Chaque membre de l'équipe dispose de capacités de déplacement uniques, a accès à trois types d'armes et peut améliorer ses compétences grâce à un arbre de talents divisé en trois catégories.

 

Penchons-nous sur les différents personnages :


  1. Harley Quinn, avec son bat-drone et son grappin, offre des déplacements acrobatiques une fois maîtrisés. Armée de pistolets, de pistolets-mitrailleurs et de miniguns, son style est plutôt rappelant celui de Batman, bien que j'aurais souhaité quelque chose de plus distinct.

  2. 2. Deadshot, équipé d'un jetpack, peut prendre de la hauteur et adopter un vol stationnaire pour éliminer ses cibles plus facilement. L'utilisation du jetpack rappelle l'expérience d'Anthem. Armé de snipers, de fusils d'assaut et de pistolets, il excelle à longue et moyenne distance.

  3. King Shark, malgré sa stature imposante, se déplace avec agilité, effectuant des sauts impressionnants. Maniant miniguns, fusils d'assaut et fusils à pompe, il est le personnage le plus rapide en traversée par rapport aux autres.

  4. Captain Boomerang, avec son gantelet de speedforce, offre une expérience de traversée ludique et jouissive. Ses téléportations rapides tout en lançant des boomerangs sont une véritable source de plaisir. Armé de fusils à pompe, de pistolets mitrailleurs ou de snipers, il est le personnage le plus amusant à jouer, bien que nécessitant une certaine maîtrise.

 

Malgré quelques similitudes avec d'autres franchises, chaque personnage apporte une dynamique unique, et le plaisir de jeu est bien au rendez-vous.

 

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Suicide Squad Kill The Justice League propose un système de butin dans la lignée des looter-shooters. L'obtention d'objets se fait principalement en accomplissant des missions ou en éliminant des ennemis. Ce qui distingue le jeu, c'est l'approche modérée du butin, loin de l'abondance que l'on peut trouver dans des titres comme Borderlands ou Destiny. Une caractéristique unique est l'absence de score d'équipement, permettant l'utilisation d'une arme légendaire tout au long de l'histoire, même en endgame, en la améliorant chez des personnages tels que le Pingouin et Toyman.

 

Le système de loot à haut niveau se révèle particulièrement intéressant. Les éléments recherchés incluent les armes légendaires, les équipements signatures et les sets infâmes, représentant les trois raretés les plus élevées à obtenir dans le jeu. Les armes légendaires sont dotées de mods uniques, offrant des avantages comme "réussir un contre parfait ajoutera un combo de 50". Les équipements signatures, comparables aux exotiques de Destiny, présentent des effets basés sur des méchants de l'univers DC, les rendant puissants. Enfin, les sets infâmes, à la manière des sets de The Division, offrent des bonus lorsque trois pièces du même ensemble sont équipées, encourageant la diversité stratégique.

 

Suicide Squad marque un virage artistique radical pour Rocksteady. Contrairement aux jeux Batman Arkham, caractérisés par une esthétique sombre, Suicide Squad adopte une direction artistique vibrante et colorée. Cette approche s'harmonise parfaitement avec l'esprit débridé de "Suicide Squad", offrant une Métropolis dynamique imprégnée de couleurs éclatantes. Ce choix est susceptible de susciter des opinions partagées entre ceux qui apprécient cette audace artistique et ceux qui préféraient la tonalité sombre des précédents jeux de Rocksteady.

 

Le Skull Chip domine l'horizon de la ville, composée de quartiers variés, certains en ruines, d'autres adoptant un style futuriste. Chaque quartier possède sa propre identité artistique distincte. Le jeu se distingue également par une excellente distance d'affichage, permettant aux joueurs d'admirer le paysage et les événements à grande distance. De plus, le cycle jour/nuit et les conditions météorologiques dynamiques ajoutent à l'immersion.

 

Métropolis est une ville en constante évolution, subissant des transformations significatives au fur et à mesure de la progression dans l'histoire. L'évolution de la ville constitue un élément central du jeu, offrant des détails accrus au fil des saisons à venir. En outre, la ville regorge d'easter eggs, laissant aux joueurs le plaisir de les découvrir par eux-mêmes.

 

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Conclusion :

 

Suicide Squad: Kill The Justice League s'affirme comme un bon jeu dans sa catégorie, bien que sans révolutionner le genre. Le gameplay se distingue par son excellence, tandis que l'histoire, bien qu'intéressante, n'est pas exempte de quelques problèmes. Il sera intéressant de suivre l'évolution du jeu au fil des saisons pour voir si Rocksteady parviendra à corriger ces défauts.

Nous saluons vivement le courage de Rocksteady d'explorer un genre de jeu moins populaire auprès des médias et des joueurs, à savoir les looter shooters en mode service, qui n'ont pas toujours été bien accueillis en général, à quelques exceptions près.

Si vous recherchez un jeu divertissant avec un gameplay amusant et dynamique, nous vous recommandons Suicide Squad: Kill The Justice League.


20/02/2024
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Mon avis sur Like A Dragon Infinite Wealth

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Disponible depuis le 26 janvier, il est temps de vous livrer mon avis sur Like A Dragon Infinite Wealth, le nouvel opus de la série Like A Dragon (Yakuza).

 

 Je remercie infiniment Plaion France pour l'envoi du jeu

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Like a Dragon: Infinite Wealth emboîte le pas à Yakuza: Like a Dragon en matière de gameplay, de scénario et de localisation (bien que...). Avant de nous plonger dans les détails, revisitions les débuts de la franchise et les évolutions remarquables depuis son commencement.

 

Pour de nombreux adeptes, la série Yakuza est synonyme du personnage emblématique Kazuma Kiryu, que de nombreux joueurs ont suivi à travers les rues de Kamurocho pendant des heures. Cependant, Yakuza: Like a Dragon a emprunté une voie différente en mettant Ichiban Kasuga au centre de l'intrigue, et ce personnage fait une nouvelle apparition dans Like a Dragon: Infinite Wealth. Si vous êtes familier avec la série, vous reconnaîtrez sans doute ce protagoniste, d'abord présent dans Yakuza Online en 2018, et également dans Yakuza: Like a Dragon.

 

Ichiban Kasuga est un individu charmant, imprégné des valeurs d'honneur, de respect, de tradition, et doté d'un humour et de mimiques suscitant des réactions... du moins, pas nécessairement au début du scénario.

 

Pourquoi ? Parce que dans cet opus, Ichiban Kasuga semble initialement plus sérieux, arborant un costume bien ajusté, occupant un emploi stable, et menant une vie presque normale... Cependant, comme d'habitude, notre héros au grand cœur et à la naïveté flagrante se retrouvera dans des situations délicates et devra quitter le Japon.

 

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Si vous êtes familier avec la série, Tokyo et le quartier de Kamurocho ne vous sont sûrement pas inconnus. Ces lieux emblématiques ont été le cadre de nombreuses explorations au fil des années. Bien que les scénarios évoluent et de nouveaux personnages fassent leur apparition, le gameplay reste constamment attractif. Cependant, une part de la communauté de joueurs exprime le désir d'un changement de décor. Et c’est justement ce qui se profile : ceux qui espéraient une escapade avec Ichiban Kasuga seront ravis d’apprendre que celui-ci va devoir s’envoler vers Hawaï pour une affaire personnelle.

 

Cependant, cela n'arrivera pas forcément immédiatement, car l'aventure commence au Japon, et il faudra jouer quelques heures avant de partir pour Hawaï, qui réserve son lot de surprises. Vous l’avez compris, l’opus Like a Dragon: Infinite Wealth vous propose, dans sa totalité, deux endroits à explorer, même si une grande partie de votre temps sera consacrée à Hawaï.

Dans sa quête personnelle, Ichiban se retrouve confronté à une réalité brutale : il ne parle pas anglais. En effet, notre personnage est un Japonais élevé dans un soapland, et il ne maîtrise que quelques mots rudimentaires d'anglais. Or, l'anglais est la langue officielle d'Hawaï... Cela pourrait-il lui causer des ennuis? À cette question, nous ne répondrons pas vraiment, mais nous soulignerons que notre protagoniste devra se faire de nouveaux amis pour se déplacer dans l'île d'Hawaï, qui, malgré son décor de carte postale, cache un aspect sombre !

 

Comme à l’accoutumée, les nouveaux amis d’Ichiban vous permettront de former une équipe improbable pour combattre le crime et résoudre les affaires du moment. Au fil de votre périple, ces personnages hauts en couleur tisseront des liens autour de discussions aussi loufoques que touchantes, ajoutant une dimension humaine à un récit déjà riche en rebondissements.

 

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Comme évoqué précédemment, la série évolue, et Like a Dragon: Infinite Wealth aborde des sujets sérieux tels que la criminalité organisée, les yakuzas cherchant à retrouver le droit chemin, la notion de famille, ainsi que les défis liés à un travail sous-payé, incluant des livraisons de nourriture à vélo.

 

La force incontestable de cet opus réside dans son scénario et son gameplay minutieusement élaborés, ainsi que dans ses interactions avec des personnages hauts en couleur qui rejoignent votre équipe. Le jeu propose également une variété d'activités annexes divertissantes, parfois délirantes.

 

Comme c'est traditionnel dans chaque épisode estampillé Like a Dragon ou Yakuza, Like a Dragon: Infinite Wealth regorge de nombreuses activités annexes capables de détourner votre attention de la trame principale. Vous pourrez vous adonner à diverses occupations, telles que jouer à des jeux de cartes, participer à des parties de fléchettes, faire du karaoké, collecter des déchets, effectuer des livraisons de nourriture à vélo, passer des examens, participer à des tournages de films, fréquenter des bars à hôtesses, ou encore utiliser une application de drague, pour n'en citer que quelques-unes. Ces divertissements variés contribuent à enrichir l'expérience de jeu.

 

De plus, une sélection complète de jeux d'arcade de chez SEGA est proposée, offrant la possibilité de jouer à SEGA Bass Fishing, Virtua Fighter 3tb, et SpikeOut. Pour ceux qui ne sont pas amateurs de jeux d'arcade, l'opportunité de tenter sa chance aux machines à pince pour attraper des peluches ou d'autres objets est également offerte. Et pour les amateurs d'activités de collection, une sorte de jeu façon Pokémon nommé "Sujimon" vous permettra de devenir un dresseur qui donne des ordres à des humains pour les faire combattre.

Après avoir exploré les activités annexes, il est temps de revenir sur le gameplay et l'histoire principale du jeu (sans spoilers), soulignant ainsi que Yakuza Like a Dragon: Infinite Wealth se présente comme un titre excellent.

 

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Une fois de plus, les développeurs du Studio Ryu Ga Gotoku nous immergent dans un environnement ouvert, offrant une liberté totale d'exploration tant au Japon qu'à Hawaï. Vous avez la possibilité de vous déplacer à pied, en taxi ou avec d'autres moyens de transport disponibles plus tard dans l'aventure. Vous êtes maître de vos choix : suivre la trame principale ou explorer les environs à votre guise. Faire du shopping, acheter de la nourriture pour soigner votre équipe, vous divertir dans une salle d'arcade, jouer à Sujimon, récupérer des objets par terre pour les revendre plus tard, ou encore aider des personnes dans les rues sont autant d'options qui s'offrent à vous. Cependant, la prudence est de mise, car le niveau des ennemis varie selon les quartiers, et s'aventurer dans des zones trop élevées peut conduire à des défaites cuisantes et à des pertes financières.

 

L'évolution du gameplay dans Like a Dragon: Infinite Wealth suit la tendance initiée par Yakuza: Like a Dragon avec l'introduction de l'aspect RPG, où les personnages gagnent de l'expérience en affrontant des ennemis. Les ennemis ne laissent pas tomber des armes, mais plutôt de l'argent qui peut être utilisé pour acheter des équipements, des armures, et divers objets améliorant les compétences de votre équipe. Le jeu encourage l'exploration, mais il est crucial de bien se préparer en achetant les équipements nécessaires avant de se lancer dans certaines zones.

 

L'évolution du personnage se fait à travers des points de compétence obtenus au fil des combats. Un système de jobs offre la possibilité de changer la classe de votre personnage, débloquant de nouveaux coups et compétences. Cette évolution du job ajoute une dimension stratégique aux combats, car chaque classe offre des compétences spécifiques et une identité visuelle distincte. L'évolution des niveaux de compétence et des jobs est cruciale pour progresser dans l'histoire, et une planification stratégique est nécessaire pour choisir les meilleures classes pour votre équipe.

 

Le système de combat adopte un format au tour par tour, avec des combats dynamiques et des QTEs (Quick Time Events) pour augmenter les dégâts. La gestion de la jauge de points de magie (PM) et l'utilisation d'objets stratégiquement ajoutent une dimension tactique aux combats. Les attaques utilisant les éléments du décor, le charme, et les mimiques sont autant de facettes du gameplay qui rendent chaque combat unique.

 

Ainsi, Like a Dragon: Infinite Wealth embrasse pleinement le virage RPG, offrant un équilibre entre l'exploration libre, la gestion des personnages, et des combats stratégiques au tour par tour, enrichissant ainsi l'expérience globale du joueur.

 

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Like a Dragon: Infinite Wealth s'affirme comme un titre de qualité offrant un gameplay à la fois ouvert et mature, agrémenté d'un scénario captivant. En ce qui concerne la durée de vie, le jeu propose une aventure conséquente, avec un minimum de 60 heures nécessaires pour achever l'histoire principale qui se déploie sur 14 chapitres.

 

Certes, cela représente un investissement en temps, mais à l'image de son prédécesseur, Like a Dragon: Infinite Wealth propose une multitude de scènes de dialogue qui permettent aux joueurs de découvrir en profondeur l'univers d'Ichiban Kasuga et de ses compagnons. Tout au long de l'aventure, les personnages, malgré leur penchant pour la violence et les affrontements, révèlent des motivations légitimes, portant chacun un passé lourd comme un fardeau. Cette dimension contribue à tisser des liens émotionnels entre les joueurs et les personnages, renforçant ainsi l'impact narratif du jeu.

Conclusion : 

Yakuza Like a Dragon avait déjà constitué une excellente porte d'entrée dans la franchise pour les joueurs ayant omis les titres antérieurs, avec sa localisation en français et son contenu riche. Cependant, le tout nouvel opus, Like a Dragon: Infinite Wealth, récemment paru sur PlayStation 4, PlayStation 5, Xbox One, Xbox Series, et PC, surpasse son prédécesseur sur de nombreux aspects. Il offre un contenu grandiose, un scénario de qualité, une multitude d'activités à explorer, ainsi qu'une île de Dondoko des plus plaisantes.

 

Incontestablement, Like a Dragon: Infinite Wealth a su séduire du début à la fin, arborant une direction artistique soignée, une narration captivante mêlant sérieux et légèreté, une maniabilité impeccable, un grand nombre de quêtes annexes, et une durée de vie phénoménale.

 

 


16/02/2024
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